Février 1939, l'espoir comme les vagues, se brise sur la plage d'Argelès pour les 500 000 Républicains Espagnols.
À 20 kms au Sud de Perpignan, dans une des régions les plus ensoleillées de France nous trouvont la ville d'Argelès-sur-Mer. Cette commune a acueilli des miliers d'Espagnols pendant la Guerre Civile Espagnole (1936-1939).
De nos jours, soit plus de 60 après, unegrande partie de ces familles sont toujour installés dans la région. Leurs enfants ont grandi et sont devenus français. Quel catalan n'a pas un ami nommé Sanchez, Garcia ou Lopez?
Mise en Route
1- Associez les définitions avec le concept appropié ci-dessous:
Compréhension écrite
2- Lisez le document extrait du site d'Argelès-sur-Mer et répondez aux questions en justifiant votre réponse.
Expression écrite
Faites un déscription générale sur ce que vous observez sur les photos.
Les gents des photos sont en majoritée bien couverts, avec des manteaux et peut-être des couvertures, ce qu'ils peuvent porter, avec des valises et bagages, tout se qu'ils peuvent transporter et souvent leurs petits dans les bras. Pour ce que j'arrive à voir sur les photos, on dirais que les hommes et les femmes sont séparés, bon, les femmes avec leurs enfants, mais tous bien couverts, homme, femme, enfant. On vois bien que se sont des civiles, car ils vont en marchant, ils ne doivent pas avoir l'argent pour s'acheter une voiture, un véritable luxe pour l'époque, et puis on vois les gendarmes (je supose que se qu'on vois c'est la police française) sont sur des chevaux. Les voitures qu'ont vois à la première photo doivent être ou a des politiques républicains ou autres riches qui s'éxilent. Les personnes ont le visage maigre et vieilli par la faim, le froid, la fatigue... et la tristesse. Les enfants ont l'air un peu plus sains, mais sûrement parce qu'ils sont jeunes et parce que leurs parents doivent commencer à les nourrir en premier. On vois les gents tristes et préoccupés, sûrement aussi éffrayés, sans savoir ce que leur prépare l'avenir et sans savoir si un jours ils pourront peut-être retourner à la terre qu'ils apprecient autand...
Sur la photo qu'il y a à la deuxième page à gauche on peut voir une pancarte qui indique l'entrée au cimietière des Espagnols exilés et morts au camp de concentration d'Argelès-sur-Mer, et puis le monolithe qui a été mit en hommage aux pauvres malheureux.
De nos jours, soit plus de 60 après, unegrande partie de ces familles sont toujour installés dans la région. Leurs enfants ont grandi et sont devenus français. Quel catalan n'a pas un ami nommé Sanchez, Garcia ou Lopez?
Mise en Route
1- Associez les définitions avec le concept appropié ci-dessous:
- Partisan de la république. Républicains
- Lutte armée dans un même pays. Guerre civile
- Personne qui subit les mauvais traitements, les injustices d'autrui, ou qui subit les conséquences d'un accident, d'une catastrophe, d'une guerre. Victimes
- Uni par un traité, par un lien de parenté, par intérêt. Alliés
- Masse de gents. Vague humaine
- Personnes qui se déplacent à un autre pays. Réfugiés
- Ensemble des troupes régulières d'un État. L'armée
- Emplacement occupé temporairement par une armée. Camp
- Déplacement de miliers d'Espagnols vers la frontière française pendant la guerre civile d'Espagne. La Retirada
Compréhension écrite
2- Lisez le document extrait du site d'Argelès-sur-Mer et répondez aux questions en justifiant votre réponse.
- Le front Populaire gouverne à la fois en Espagne et en France en 1936. Vrai
- À cette époque-là, l'Espagne est divisée en deux: les Républicains et les nationalistes. Vrai
- Les nationalistes se voient obligés à s'exiler. Faux - Les Républicains se voient obligés à s'exiler.
- La plupart de réfugiés espagnols traversent la frontière française. Vrais - Mais ils ont du attendre le 28 janvier.
- Le gouvernement Français ne s'attendait pas à un nombre aussi élevé de réfugiés. Vrai - Ils s'attendaient quelques miliers de réfigiés et en arriva 500 000.
- Le camp d'Argelès est le troisième camp sur les routes de l'exil. Faux - Le camp d'Argelès est le premier camp sur les routes de l'exil.
- Aujourd'hui nous pouvons trouver le camps intact. Aujoud'hui il ne reste plus rien du camp. Seul le petit "cimetière des Espagnols" reste, où reposent les Républicans Espagnols i les Juifs décédés dans le camp de 1931 à 1941.
- Plusieurs hommages sont rendus à cet événement. Vrai - Deux plaques avec les noms des décès officiellement déclarés ont été mises, l'avenue devant le cimetière est renommée en 1999 "avenue de la Retirada de 1939" et à l'endroit où était l'entrée du camp ils y ont mi un petit monolithe en mémoire des 250 000 internés.
Expression écrite
Faites un déscription générale sur ce que vous observez sur les photos.
Les gents des photos sont en majoritée bien couverts, avec des manteaux et peut-être des couvertures, ce qu'ils peuvent porter, avec des valises et bagages, tout se qu'ils peuvent transporter et souvent leurs petits dans les bras. Pour ce que j'arrive à voir sur les photos, on dirais que les hommes et les femmes sont séparés, bon, les femmes avec leurs enfants, mais tous bien couverts, homme, femme, enfant. On vois bien que se sont des civiles, car ils vont en marchant, ils ne doivent pas avoir l'argent pour s'acheter une voiture, un véritable luxe pour l'époque, et puis on vois les gendarmes (je supose que se qu'on vois c'est la police française) sont sur des chevaux. Les voitures qu'ont vois à la première photo doivent être ou a des politiques républicains ou autres riches qui s'éxilent. Les personnes ont le visage maigre et vieilli par la faim, le froid, la fatigue... et la tristesse. Les enfants ont l'air un peu plus sains, mais sûrement parce qu'ils sont jeunes et parce que leurs parents doivent commencer à les nourrir en premier. On vois les gents tristes et préoccupés, sûrement aussi éffrayés, sans savoir ce que leur prépare l'avenir et sans savoir si un jours ils pourront peut-être retourner à la terre qu'ils apprecient autand...
Sur la photo qu'il y a à la deuxième page à gauche on peut voir une pancarte qui indique l'entrée au cimietière des Espagnols exilés et morts au camp de concentration d'Argelès-sur-Mer, et puis le monolithe qui a été mit en hommage aux pauvres malheureux.
Cap comentari:
Publica un comentari a l'entrada